C’est l’un des paradoxes de l’épargne. D’un côté, les patrimoines importants sont cajolés par leurs conseillers qui passent des heures à étudier des solutions d’investissement intéressantes à leur proposer, de l’autre les « petits » investisseurs, pour lesquels la faiblesse des commissions ne justifie pas de passer du temps sur un dossier, sont délaissés. Ces derniers doivent alors se contenter de solutions très basiques et se retrouvent enfermés dans des produits simples, souvent sûrs, mais rarement performants.  

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