1. Home
  2. Press releases
  3. Journée de la femme digitale du 12 mars – L’incubateur ParisTech Entrepreneurs soutient et met à l’honneur 4 femmes du secteur du numérique

Journée de la femme digitale du 12 mars – L’incubateur ParisTech Entrepreneurs soutient et met à l’honneur 4 femmes du secteur du numérique

– Journée de la femme digitale du 12 mars –

L’incubateur ParisTech Entrepreneurs soutient et met à l’honneur 4 femmes du secteur du numérique
 

Paris, le 11 mars 2015 – L’incubateur de référence du numérique en France, ParisTech Entrepreneurs, a accompagné près de 350 entreprises depuis sa création en 1999. Un très grand nombre de ces entreprises sont portées par des hommes issus d’écoles d’ingénieurs dont les effectifs sont majoritairement masculins. Dans le milieu de la French Tech, les femmes créatrices sont encore trop peu représentées. Face à ce constat l’incubateur a souhaité mettre à l’honneur des femmes du secteur du numérique qui ont sauté le pas de l’entrepreneuriat.

Le numérique fait partie de notre quotidien, il apporte une grande liberté pour entreprendre, apprendre et pour s’exprimer, c’est exactement ce dont nous (les femmes) avons besoin!

Valérie Samuel, fondatrice de Reward Process

La femme numérique n'est pas tellement différente de l'homme numérique, elle apporte simplement une vision légèrement différente des choses, peut être un peu plus concrète.

Stéphanie Donnezan, fondatrice et responsable du développement commercial de Tocosk

Comme pour tout dans la vie, être une femme à la direction d'une start up c'est parfois mieux…

Gisèle Belliot, cofondatrice d’Ayotle

 

Le numérique est un terrain d’entrepreneuriat privilégié pour les femmes : hommes et femmes jouent à armes égales dans la conquête de ces nouveaux territoires ! Tout reste à inventer…Les femmes peuvent y acquérir rapidement une reconnaissance et une aura aujourd’hui difficilement atteignables dans d’autres domaines.

Sophie Molina, co-fondatrice de MySeat

 

Zoom sur le parcours de ces 4 femmes du numérique

  • Valérie Samuel fondatrice de Reward Process, solution en cloud qui permet de gérer les programmes d’incentives dédiés aux forces commerciales de l’entreprise. Valérie Samuel a tenté l’expérience entrepreneuriale après 23 ans de salariat chez des éditeurs de logiciels.  Elle y a pratiqué différents métiers ; du secteur technique au secteur commercial. Le  secteur IT lui a toujours permis d’évoluer et d’exprimer sa créativité. Mais après 23 ans dans ce domaine elle s’est demandée comment remotiver les commerciaux et générer du peps dans les entreprises. C’est alors qu’elle a commencé à imaginer un logiciel, une plateforme de challenges multilingue, ergonomique, agile et en Cloud : Reward Process. La solution, très facile d’usage permet de créer et de suivre les challenges et d’évaluer rapidement le retour sur investissement. Pour les forces commerciales, c'est un moyen ludique d'atteindre les objectifs de l'entreprise, de se mesurer aux autres participants, de décrocher des récompenses, badges etc.
     
  • Stéphanie Donnezan fondatrice et responsable du développement commercial de Tocosk. Tocosk réinvente la formation à Excel avec une solution en ligne de "Learning by doing" avec des coachs, des exercices et des cas pratiques. La start-up a levé 460.000€ en 2012. Après avoir effectué une formation d’ingénieur agronome et un master en entrepreneuriat elle crée, il y a 5 ans, sa start-up avec son frère. Elle a décidé de tenter l’aventure entrepreneuriale n’ayant pas de contrainte familiale et financière. L’objectif premier était d’aller au bout de ses idées d’entreprise, quitte à revenir dans le monde plus classique et sécurisant du salariat si l’aventure ne fonctionnait pas.
     
  • Gisèle Belliot est cofondatrice d’Ayotle qui développe, depuis 2010, des logiciels de reconnaissance de mouvements à partir de caméras et capteurs 3D. La reconnaissance de mouvements est une brique technologique particulièrement importante pour plusieurs industries, notamment dans les domaines de la santé, de l’automobile et  de l’électronique grand public. Après un parcours universitaire, elle devient chef de projet dans les industries créatives avant de faire un MBA à l’IAE de Paris et de créer Ayotle dans la foulée avec Alonso Zepeda, ingénieur en télécommunications.
     
  • Sophie Molina est cofondatrice de MySeat, entreprise technologique au service de l’aménagement immobilier et des travailleurs nomades. Cette technologie innovante (internet des objets) permet à leurs clients d’évaluer le taux d’occupation de leurs locaux et de les réaménager en fonction des besoins de leurs collaborateurs. Après des études en lettres, puis en école de commerce, elle collabore à la création du premier réseau d’entrepreneurs sociaux français, le Mouves, et acquiert la passion de l’entrepreneuriat. Elle s’associe alors  à Pierre Landoin pour créer MySeat.

 

Même si là comme ailleurs, les femmes doivent concilier plusieurs vies, le débat n’est pas de se faire une place dans un monde très masculin. L’entrepreneuriat dans le numérique ne connaît pas la guerre des sexes. C’est un univers plutôt ouvert et conciliant. Le problème est avant tout d’oser. Seulement 10 % de femmes franchissent les portes de notre incubateur dont 3 % dans les technologies innovantes. Voilà pourquoi nous sommes fiers d’avoir contribué à l’émergence de ces projets.

Pascale Massot, responsable de l’incubateur ParisTech Entrepreneurs

 

Menu